LaCinetek lance sa rétrospective Mastroianni (jusqu'au 21 mars). L'Humanité a ressorti pour vous 3 articles d'époque sur 3 des films de la rétrospective : "La Dolce Vita", "Ginger et Fred", "La Nuit". Retours sur l'accueil qui avait été réservé à ces chefs d'oeuvre !
Un cri : « Marcello ! Come here ! » ; une fontaine éternelle ; puis un étrange silence. Avec La Dolce vita, le mythe du séducteur Mastroianni est né. Pourtant Marcello Mastroianni cultive l’art du contraste. Artiste de l’oxymore, provocateur doux à la légèreté mélancolique, il échappe à toute catégorisation trop hâtive : jeune père maladroit dans Le Pigeon, époux vulnérable dans Le Bel Antonio, énigmatique chez Antonioni, aux personnalités multiples chez Ruiz, et même enceint dans L’événement le plus important…
LaCinetek part sur les traces de cet acteur emblématique pour une traversée des grandes heures du cinéma italien, de la fin des années 50 à celle des années 80, avec comme fil rouge l’œuvre fellinienne à laquelle il est à jamais associé.
À décrouvrir dans l'abonnement jusqu'au 23 mars.
Retour sur l'accueil reçu par trois des films de la rétrospective
En partenariat avec LaCinetek, L'Humanité vous propose de découvrir 3 articles issus de ses archives pour revenir sur l'accueil glacial reçu par La Dolce Vita (article) lors de sa présentation à Cannes, sur Ginger et Fred de Fellini (article du 22 janvier 1986), dont le journal dira "Ce couple nous touche par ses maladresses", en parlant de Giulietta Masina et Marcello Mastroianni, et sur La Nuit d'Antonioni (article du 24 février 1961), suite à l'avant-première du film au Studio Publicis.
