Dans une volonté de transgresser les normes du cinéma classique hollywoodien, films des premiers temps et fragments de textes grecs classiques se côtoient dans ce film expérimental, le tout au prisme d’un montage conduisant aux analogies visuelles les plus étonnantes. Corps féminins et masculins en ressortent émancipés, libérés des clichés associés à leur genre.
Note : Le titre du film résonne comme une réponse à une fameuse réplique que l’on a volontiers prêtée à D. W. Griffith. À la question “Que faut-il pour faire un film ?”, le réalisateur américain aurait répondu : “Une fille et un flingue”.