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Réalisateur norvégien né à Copenhague en 1974.
Fils et petit-fils de réalisateur, Joachim Trier, adolescent, se passionne pour le skateboard et participe à des compétitions nationales. A 23 ans, il intègre la National Film and Television School de Londres et se lance trois ans plus tard dans la réalisation de son premier long-métrage, Nouvelle donne, qui sera présenté dans de nombreux festivals internationaux. En 2011, il signe Oslo 31 août, librement adapté du Feu follet de Drieu la Rochelle. Le film, sélectionné à Cannes dans la catégorie Un Certain Regard, remporte un vif succès. Back Home avec Isabelle Huppert, Jesse Eisenberg et Gabriel Byrne, était en Compétition officielle à Cannes en 2015. Il expérimente le fantastique avec Thelma (2017).
Pietà (2000) – Still (2001) – Procter (2002)
Nouvelle donne (2006) – Oslo, 31 août (2011) – Back Home (2015) - Thelma (2017)
Réalisateur norvégien né à Copenhague en 1974.
Fils et petit-fils de réalisateur, Joachim Trier, adolescent, se passionne pour le skateboard et participe à des compétitions nationales. A 23 ans, il intègre la National Film and Television School de Londres et se lance trois ans plus tard dans la réalisation de son premier long-métrage, Nouvelle donne, qui sera présenté dans de nombreux festivals internationaux. En 2011, il signe Oslo 31 août, librement adapté du Feu follet de Drieu la Rochelle. Le film, sélectionné à Cannes dans la catégorie Un Certain Regard, remporte un vif succès. Back Home avec Isabelle Huppert, Jesse Eisenberg et Gabriel Byrne, était en Compétition officielle à Cannes en 2015. Il expérimente le fantastique avec Thelma (2017).
Pietà (2000) – Still (2001) – Procter (2002)
Nouvelle donne (2006) – Oslo, 31 août (2011) – Back Home (2015) - Thelma (2017)
Marguerite Duras et Alain Resnais se demandent comment le cinéma peut représenter les choses, quelles sont les limites du langage cinématagrophique.
La générosité de Desplechin me rappelle celle de Woody Allen.
Le film est un classique du cinéma scandinave. C'est l'histoire d'un amour de jeunesse imbriquée dans la chronique d'un été.
Il y a quelque chose de très cinématographique dans le portrait de ces solitudes.
Aucun réalisateur n'a filmé le vent dans les arbres, avec autant de délicatesse et de grâce que Tarkovski.