Le vent nous emportera

Une voiture traverse une route poussiéreuse dans les montagnes du Kurdistan. A bord se trouvent trois hommes venus de Téhéran. Ils finissent par arriver à destination, dans un petit village coupé du monde. L’un d’eux, Behzad, est accueilli par un enfant avec qui il se lie aussitôt. Alors que les habitants le surnomment « l’ingénieur », il raconte que lui et ses deux amis sont venus chercher un trésor. Le mystérieux « ingénieur » va peu à peu goûter à la vie recluse et poétique des villageois.

Note : le titre est emprunté à un poème de Forough Farrokhzad, réalisatrice de La Maison est noire (1962), documentaire qui traite aussi du thème des reclus.