En 1970, l’écrivain et dramaturge japonais Yukio Mishima, se suicide selon la tradition Hara-Kiri des samouraïs. Au moment de cet élan vers la mort, il se souvient par bribes de sa vie, divisée en quatre chapitres : la beauté, l’art, l’action et l’harmonie (de la plume et du sabre). Débute alors une plongée onirique et flamboyante au cœur de l’existence et de l’œuvre d’un des plus grands artistes japonais.
Recommandé par Joachim Trier
Ayant le projet de rouvrir sa blanchisserie au sortir de la guerre, Ryösuke et sa femme Masako, sont confrontés à la mort de leur fils aîné, Susumo, des suites d’une maladie. Quelque temps plus tard, Ryösuke se découvre lui aussi malade. Face à tout ça, Masako se plonge dans le travail et se rapproche de son ami Kimura.
Masako, fille d'un pauvre ferblantier, remporte le concours de composition de son lycée, en ayant rédigé un essai sur son quartier. Très médiatisé, cet essai finit par être la source de problèmes familiaux qui, ajoutés aux soucis financiers, menacent la poursuite des études de Masako.
Recommandé par Akira Kurosawa
Au sortir de la guerre, l’armée américaine s’installe à Yokusuka, à quelques kilomètres de Tokyo, transformant la ville en base navale. Devenu le repère de nombreux truands cherchant à profiter de la situation, la ville deviendra le théâtre des amours de Kinta, un jeune yakuza, et de Haruko, sa petite amie. Tout deux tentent de survivre dans cette univers de corruption généralisée.
Recommandé par Jacques Audiard
Partie 1 : Il n'y a pas de plus grand amour
1943. Kaji et sa femme partent pour les mines de Mandchourie. Souhaitant faciliter les conditions de travail des employés, il se heurte à ses supérieurs. Lorsque des prisonniers de guerre chinois sont débarqués de wagons à bestiaux, Kaji ne peut supporter cette infamie et décide de s'opposer aux méthodes extrêmes de sa hiérarchie.
Notes : La Condition de l’homme est une fresque historique se déroulant entre 1943 et 1945 adaptée du roman autobiographique de Junpei Gomikawa. Le film est divisé en trois parties : Il n'y a pas de plus grand amour, Le chemin de l'éternité et La Prière du soldat.
Recommandé par Jerry Schatzberg
Partie 3 : La Prière du soldat
Vaincus par l'armée soviétique, Kaji et quelques soldats parcourent les plaines de Mandchourie, luttant pour leur survie. Faits prisonniers dans un camp russe, les conditions de vie et de détention sont de plus en plus pénibles. Brisé, Kaji n'a plus la force de se battre.
Notes : La Condition de l’homme est une fresque historique se déroulant entre 1943 et 1945 adaptée du roman autobiographique de Junpei Gomikawa. Le film est divisé en trois parties : Il n'y a pas de plus grand amour, Le chemin de l'éternité et La prière du soldat.
Recommandé par Jerry Schatzberg
Partie 2 : Le chemin de l'éternité
Après s'être opposé aux conditions de travail d'ouvriers et de prisonniers chinois, Kaji est mobilisé pour combattre l'envahisseur russe. Loin d'adhérer aux règles de l'armée, il se révolte une nouvelle fois contre les principes de la guerre et de l'ordre hiérarchique.
Notes : La Condition de l’homme est une fresque historique se déroulant entre 1943 et 1945 adaptée du roman autobiographique de Junpei Gomikawa. Le film est divisé en trois parties : Il n'y a pas de plus grand amour, Le chemin de l'éternité et La Prière du soldat.
Recommandé par Jerry Schatzberg
Au XVIIe siècle, Hanshirô Tsugumo est un samouraï errant sans ressource ni travail. Il se rend dans le palais du clan Li et leur demande à mourir dignement dans leur cour. Alors que le chef du clan tente de l’en dissuader, s’esquisse le véritable dessein de Hanshirô.
Recommandé par John Woo
Izō Okada, un paysan désargenté et naïf, espère sortir de la misère en devenant un rōnin, un samouraï sans maître. Il intègre bientôt le clan Tosa et s’enferre sous la coupe de l’impitoyable Hanpeita Takechi. Ce dernier, dévoré par l’ambition, transforme le jeune Okada, aveuglément loyal, en tueur aussi efficace que sanguinaire.
Notes : traduit en français par Puni par le ciel ou Le Châtiment, le titre original du film Hitokiri signifie pourtant « meurtrier » ou « trancheur d’hommes » en japonais. Le personnage d’Izō Okada est inspiré d’un samouraï ayant réellement existé. Accompagné de trois autres samouraïs, Kawakami Gensai, Toshiaki Kirino et Tanaka Shinbei (qui apparaît dans le film sous les traits de l’écrivain Yukio Mishima), il fut membre des Quatre Hitokiri du Bakumatsu.
Recommandé par Christophe Gans
À Nara au Japon, parmi les trois filles de M. Asai, Ayako arrive en âge de se marier. Sous la pression de sa tante et de son père, elle rencontre un jeune banquier, mais sa petite soeur, Setsuko, est déterminée à ne pas la voir dans un mariage malheureux. Elle se met alors en tête de faire se retrouver Amamiya, un ancien amour de jeunesse, et Setsuko, un soir au clair de lune.