Albert Ménard-Lacoste est un riche industriel quelque peu frustré. Un jour, il voit réapparaître devant lui son jumeau Alain qu’il n’avait pas vu depuis des années. Et pour cause, les deux hommes ont des caractères radicalement opposés. Alain n’a pas un sou mais a voyagé et a bien profité de la vie. Peut-être même un peu trop. En effet, le jumeau décède soudainement dans les bras de son frère. Albert a alors l’idée saugrenue de prendre son identité et de se faire passer pour lui, afin de goûter à son tour à la vie de bohème. Mais son stratagème va aussi lui permettre de faire tomber les masques de ses proches.

Pour commémorer les 15 ans de la mort du frère aîné, une famille japonaise se réunit dans la ville portuaire de Yokohama, un jour d’été. Les non-dits et autres rancœurs vont resurgir…

Mariana Otero tente de percer le secret qui entoure la disparition de sa mère survenue alors qu’elle était enfant. 

Alors que Julieta est sur le point de quitter définitivement Madrid, elle rencontre Beatriz, l’amie d’enfance de sa fille Antia dont elle est sans nouvelle depuis douze ans. L’espoir renaît : Julieta met tout en œuvre pour reprendre contact. En même temps, dans son journal, elle revient sur sa vie de famille mouvementée, pour l’aider à comprendre ce qui a conduit Antia à fuir.

Au décès de leur mère, Jeanne et Simon héritent de deux étranges lettres : l’une qu’ils doivent remettre à un père qu’ils n’ont jamais connu, l’autre à un frère dont ils ignoraient l’existence. Les jumeaux se rendent au Moyen-Orient, sur la terre de leurs ancêtres, un pays en proie à la guerre civile et aux pires violences, exhumant de lourds secrets de famille…

Note : Le film est inspiré de la pièce de théâtre Incendies de Wajdi Mouawad, elle-même inspirée de la vie de la militante libanaise Souha Bechara. 

Alors qu’Anna, une orpheline, s’apprête à devenir religieuse, elle découvre l’existence de sa tante Wanda, et décide de la rejoindre à Varsovie. Avec celle-ci, qui a sombré dans la débauche, Anna découvre sa véritable identité et l’histoire tragique de sa famille, juive, pendant l’occupation allemande…

À travers trois adaptations de nouvelles de Huang Chun-ming par trois réalisateurs différents, ce film du Nouveau Cinéma taïwanais dresse le portrait des oubliés du progrès dans un Taïwan en pleine industrialisation sous influence américaine. On y suit un jeune père devenu “homme-sandwich” pour survivre, un vendeur d’autocuiseurs désillusionné et une famille pauvre découvrant le confort d’un hôpital américain après un accident absurde.

1947. Le petit Ah-ha et sa famille quittent la Chine continentale pour Taïwan, près de Taipei. Ils s'installent ensuite dans le Sud de l'île, où le climat convient mieux au père, asthmatique. Enfant choyé, Ah-ha devient un adolescent taciturne, dans une famille frappée par la maladie.

Un jeune homme et une jeune fille, amis d'enfance, décident de quitter leurs montagnes natales pour rejoindre Taipei, la capitale. Tous deux tentent de s'adapter à leur nouvelle vie en ville. Les expériences dramatiques et heureuses qu'ils vont vivre ensemble vont peu à peu transformer leur amitié en amour.

Xiao S’ir, adolescent de quatorze ans, est issu d’une famille d’immigrants chinois venus s’installer à Taipei, à Taïwan. Son père, Zhang ju place de grands espoirs en ses enfants et considère leur éducation comme primordiale. Arrivé dans son nouveau lycée, Xiao S’ir tombe amoureux de Ming et se retrouve au milieu d’affrontements entre bandes adverses.

Note : le film est inspiré d’un fait divers par lequel le cinéaste a souhaité « évoquer une génération en quête d’un rayon d’espoir ».

Une cage est à la recherche d’un oiseau, mais tous ses efforts échouent. Sans son aide, un oiseau trouve le moyen d'entrer. La cage referme sa porte et se dresse fièrement sur un piédestal, car elle est désormais digne d’être admirée.

Dans une goutte de pluie qui tombe d'une feuille et s'infiltre dans la terre, des choses belles et cruelles, heureuses et tristes se produisent et s'interpénètrent.

Un loup veut s'emparer d'un mouton, mais le troupeau est bien gardé. Il se déguise alors en mouton, s'entraîne à la marche et bêle.

Un scarabée fuit un oiseau. Aucune cachette n'est à l'abri de son poursuivant. Il se réfugie donc dans une crevasse sombre inaccessible au bec de l'oiseau.

Un vol d’oiseaux se pose sur une ligne téléphonique. Toutes les têtes sont tournées dans la même direction, sauf celle du plus petit oiseau, qui regarde dans le sens opposé.

Avec beaucoup d'engagement et d'efforts physiques, un homme réduit des pierres en gravier. Avec le même zèle, une femme façonne à nouveau des pierres à partir de ce gravier. Les pierres sont ensuite, avec un empressement tout aussi assidu, de nouveau réduites en gravier par l’homme…

Un gardien de musée stoïque joue le rôle de « ring girl » dans un programme au charme étrange : des personnages de célèbres tableaux sortent de leur cadre et interagissent entre eux. La « Mona Lisa » astique le casque de « L’Homme au casque d’or » et se fait payer avec le « Denier de César ». La « Jeune fille au chocolat » laisse tomber son plateau, troublée par les escapades érotiques de la « fille de Tahiti » avec le « cygne de Léda ».

Kafka aperçoit une serveuse grignoter dans un pot qu'elle s'apprête à servir. Fou d'indignation, il se plaint. Sa plainte est retenue et la jeune fille est condamnée à la lapidation. Kafka proteste, affirmant qu'il n'avait pas voulu provoquer cela, mais les pierres sont lancées sur la serveuse avec d'autant plus de violence. Impuissant face à la machine enclenchée, Kafka met fin à ses jours. Pendant ce temps, la jeune fille est guérie et renvoyée servir avec le pot.

Un petit homme est assis sur un banc d’une gare. Un type massif, d’abord poli, vient s’asseoir à côté de lui, puis utilise son journal, consomme son ravitaillement de voyage dans le train, le suit et le harcèle dans le bus, dans le taxi, et chez lui, où il s’y installe.

Un jour, Laurence annonce à sa petite amie Fred qu’elle est en réalité une femme transgenre, désireuse de quitter son corps d’homme. Le couple affronte ensemble le regard de la société pendant la fastidieuse transition de Laurence, mettant leur couple à l’épreuve.

À Rome, le 6 mai 1938, tous les habitants sont partis assister au défilé d’Hitler et de Mussolini, qui viennent de signer l’axe Rome-Berlin. Dans un immeuble, seuls sont restés Gabriele, intellectuel homosexuel assigné à résidence, et Antonietta, mère de famille nombreuse. Ils se rencontrent pour la première fois et se lient peu à peu, tandis que retentit à la radio le déroulé de la manifestation fasciste.

À Paris, l’Américaine Regina Lambert apprend la mort de son mari : celui-ci a été tué alors qu’il cherchait à s’emparer d’un magot subtilisé pendant la guerre. Dès l’enterrement, Regina voit apparaître les anciens complices de son mari, persuadés qu’elle sait où il a caché l’argent. Peter Joshua, un séduisant quinquagénaire rencontré aux sports d’hiver, va mettre un point d’honneur à protéger la jeune femme.

A bord d’un paquebot, un playboy français et une chanteuse de cabaret tombent amoureux. Cependant, il est fiancé et elle doit se marier. Ils se donnent rendez-vous dans 6 mois en haut de l’Empire State Building…

Note : Leo McCarey tournera un remake en couleurs de son propre film, Love Affair, en 1957 intitulé An Affair to Remember. Les deux ont le même titre en français.

Accueilli en héros à l'aéroport du Bourget, l'aviateur André Jurieux, qui croule sous les acclamations du public, est pourtant écœuré. Lui qui vient de traverser l’Atlantique dans le seul but d’impressionner la belle Christine de La Chesnaye est dépité de ne pas la trouver à son arrivée. Son ami Octave, compatissant à son chagrin, tente de lui remonter le moral en le faisant inviter dans un château en Sologne. Son propriétaire, Robert de La Chesnaye, un marquis volage marié à la frivole Christine, s’apprête en effet à y donner une partie de chasse suivie d’une fête aussi somptueuse qu’endiablée.

Notes : La Règle du Jeu est une variation libre sur le thème du « Jeu de l'amour et du hasard » cher à Marivaux. En effet, sous couvert de légèreté, le film qualifié de « fantaisie dramatique » par son auteur est (conformément à son modèle Le Mariage de Figaro) en réalité une virulente satire de la haute société française. Réalisé à la veille de la Seconde Guerre mondiale, Renoir fustige ici le cynisme désabusé et le désengagement des élites face à la menace fasciste.

François, l’excentrique facteur d’un modeste petit village français, n’hésite pas à interrompre sa tournée pour apporter son aide à celles et ceux qui s’attèlent à la préparation de la fête foraine. Plein de bonne volonté mais distrait, François ne semble pas s’apercevoir que ses coups de mains causent parfois quelques dégâts. Mais le lendemain, la fête peut enfin avoir lieu et François assiste à une projection de film américain présentant les méthodes de distribution aérienne du courrier par la poste américaine. Grisé par le vin, François, muni de son petit vélo, espère à présent égaler les prouesses techniques de ses confrères outre-Atlantique et se lance dans une mémorable distribution de courrier.

Note : Pour son premier film, Jacques Tati rêvait de couleur et tourna en même temps deux versions, l’une sur pellicule couleur, l’autre sur pellicule noir et blanc. Mais ses moyens techniques en 1949 ne lui permirent pas de développer la couleur. Jour de fête sortit donc d’abord en noir et blanc avant de connaître les honneurs d’une sortie en couleur en 1995.

Pour échapper à l’autorité de son père qui vient de désavouer son mariage avec un playboy inconséquent, Ellie Andrews, une jeune fille gâtée, prend seule la route de New York dans l’espoir de retrouver son bien-aimé. Sur son chemin, Ellie fait la connaissance de Peter Warne, un journaliste au chômage, qui grâce à l’annonce publiée dans la presse comprend qu’elle est la fille d’un millionnaire. Lorsque leur voyage en bus se retrouve interrompu par la pluie, les deux acolytes, en dépit de leur mésentente apparente, se retrouvent obligés d’improviser et s’embarquent pour quelques aventures échevelées.

Dans un petit village du Burkina Faso, Bila et sa cousine Nopoko sont deux enfants qui jouent dans les étendues désertiques. Lors de l’une de leurs escapades, Bila rencontre Sana, une vieille femme esseulée et accusée de sorcellerie. Tous deux se lient d’amitié et Sana devient pour Bila « Yaaba » : « grand-mère ».

Dans un village des Abruzzes, un maréchal des logis, Carotenuto. Comme la plupart des hommes de la région, il tombe sous le charme de Maria, chevrière surnommée Bersagliera. Maria, pauvre mais fière, rejette le maréchal et les autres : elle n’a d’yeux que pour un jeune carabinier, subordonné à Carotenuto…

Note : Pain, amour et fantaisie a gagné l’Ours d’argent à la Berlinale de 1954 et est souvent cité comme l’exemple-type du néoréalisme rose.

Claude Gaspard, accusé de tentative de meurtre sur la personne de son épouse, se retrouve incarcéré à la prison de la Santé. Dans ce « trou » il fait la rencontre de quatre autre détenus : Monseigneur Vosselin, Manu, Roland et Jo. Unis par un projet commun d’évasion, les quatre hommes l’accueillent avec plus ou moins d’enthousiasme. 

Notes : Le Trou est l’adaptation du livre éponyme de José Giovanni paru en 1957. Il s’agit du récit romancé mais autobiographique de la tentative d’évasion de Giovanni alors appelé Joseph Damiani emprisonné pour rançonnement. C’est à sa sortie de prison après onze ans d’incarcération qu’il fait publier le livre.

1885, en plein Arizona, neuf inconnus se rencontrent à bord d’une diligence qui s'avance sur une route menacée par les Indiens et leur chef Geronimo. Le voyage à huis-clos est difficile à supporter et se poursuit dans une atmosphère de plus en plus tendue.

Note : La Chevauchée Fantastique est inspirée de la nouvelle de Maupassant, Boule de Suif.

Alors qu’un yacht fait escale au cœur de l’Océanie, Johnny, membre de l’équipage, est sauvé d’un requin par Luana, la fille du roi de l’île voisine. Une idylle naît entre eux, malgré les fiançailles arrangées de Luana… tandis qu’en toile de fond, le réveil du volcan rappelle la fragilité de l’équilibre insulaire. 

Note : En 1951, un remake de L'Oiseau de paradis a été réalisé par Delmer Daves, avec Louis Jourdan dans le rôle de Johnny.

Else, pour sauver son père qui croule sous les dettes, doit choisir d’accepter ou non de se mettre nue devant le vieux Dorsday, en échange d’une somme d’argent. Sous la pression, la jeune fille choisit un geste encore plus radical.

Note : Ce court-métrage est une libre adaptation du roman d’Arthur Schnitzler écrit en 1924, reprenant sa trame initiale mais sous une forme éclatée.

Injustement fait prisonnier au Château d’If, Edmond Dantès parvient à s’évader lorsque meurt l’Abbé Faria, que tout le monde croit fou. Guidé par la vengeance, il part à la recherche du trésor dont lui avait parlé le mystérieux abbé. Sous l’identité du comte de Monte-Cristo, il condamnera ceux qui l’avaient trahi auparavant.

Note : Le film est proposé en deux parties : Première époque : Edmond Dantès et Deuxième époque : Le Châtiment.

Injustement fait prisonnier au Château d’If, Edmond Dantès parvient à s’évader lorsque meurt l’Abbé Faria, que tout le monde croit fou. Guidé par la vengeance, il part à la recherche du trésor dont lui avait parlé le mystérieux abbé. Sous l’identité du comte de Monte-Cristo, il condamnera ceux qui l’avaient trahi auparavant.

Note : Le film est proposé en deux parties : Première époque : Edmond Dantès et Deuxième époque : Le Châtiment.

Dans le Yorkshire des années 1950, les Tweedy gèrent un poulailler destiné à la production de tourtes. Toute la basse-cour semble résignée à son sort de volailles d’élevage et mange sans cesse, sans inquiétude, le grain toujours abondant. Seule Ginger refuse de finir en tourte et, révoltée par la cruauté de Mrs Tweedy, ne se lasse pas de mettre son astuce au profit de vaines tentatives d’évasion, quitte à finir, continuellement, au cachot. Un jour, cependant, “un coq-boy libre et solitaire” débarque et suggère une idée qui pourrait tout changer…

Note : L’académie des Oscars, déçue de l’absence de nomination de Chicken Run dans la catégorie “Meilleur film”, a créé l’année suivante, en 2002, l’Oscar du meilleur film d’animation. 

Dans la Marseille post-napoléonienne, Edmond Dantès, jeune marin prometteur sur le point d’épouser Mercédès, est victime d’un complot orchestré par ses envieux : Caderousse, Fernand Mondego et le magistrat Villefort. Accusé à tort de bonapartisme, il est enfermé à vie au château d’If. Là, dans sa cellule, il rencontre l’abbé Faria, qui lui révèle l’existence d’un trésor enfoui sur l’île de Monte-Cristo. Les richesses abritées par cette île vont fournir à Dantès son pseudonyme vengeur, le Comte de Monte-Cristo, et les moyens de réaliser sa vengeance.

Note : Le film est proposé en deux parties : Première époque : La Trahison et Deuxième époque : La Vengeance.

Devenu anobli et immensément riche, Edmond revient en France sous l’identité du Comte de Monte‑Cristo. Il s’introduit dans les hautes sphères parisiennes, sans être reconnu, et met en œuvre un plan de vengeance implacable contre ceux qui l’ont trahi : Caderousse, Mortcerf et Villefort tombent peu à peu dans son piège.

Note : Le film est proposé en deux parties : Première époque : La Trahison et Deuxième époque : La Vengeance.

Un thème cher à Mademoiselle Alice et dont ce film est le premier exemple en date.

À Budapest, au milieu des années 1960, un jeune garçon s’apprête à faire sa rentrée pour son premier jour d’école. En chemin, il se lie d’amitié avec une jeune fille. Ensemble, ils découvrent le monde des adultes.

Un terrain vague, un matelas habité par un vagabond endormi. Une scénarisation relativement plus complexe éloigne le film des simples pochades prisées par les cinéastes des premiers âges.

Destinée sans doute à la réclame de la firme Gaumont pour illustrer la magnificence de son « théâtre de pose » des Buttes-Chaumont et la technicité des phonoscènes qui y sont réalisées, le documentaire rare et unique d’une scène de prise de vues vers 1905.

Un « déshabillage impossible » exploité par toutes les productions concurrentes et repris par l’attentive Mademoiselle Alice.

Beauté du décor du parc des Buttes-Chaumont, décor essentiel du film, et grâce nostalgique de ses visiteurs, mais aussi éclairant autoportrait d’Alice Guy en professeur d’éducation civique.

À Paris, l’Américaine Regina Lambert apprend la mort de son mari : celui-ci a été tué alors qu’il cherchait à s’emparer d’un magot subtilisé pendant la guerre. Dès l’enterrement, Regina voit apparaître les anciens complices de son mari, persuadés qu’elle sait où il a caché l’argent. Peter Joshua, un séduisant quinquagénaire rencontré aux sports d’hiver, va mettre un point d’honneur à protéger la jeune femme.

A bord d’un paquebot, un playboy français et une chanteuse de cabaret tombent amoureux. Cependant, il est fiancé et elle doit se marier. Ils se donnent rendez-vous dans 6 mois en haut de l’Empire State Building…

Note : Leo McCarey tournera un remake en couleurs de son propre film, Love Affair, en 1957 intitulé An Affair to Remember. Les deux ont le même titre en français.

Injustement fait prisonnier au Château d’If, Edmond Dantès parvient à s’évader lorsque meurt l’Abbé Faria, que tout le monde croit fou. Guidé par la vengeance, il part à la recherche du trésor dont lui avait parlé le mystérieux abbé. Sous l’identité du comte de Monte-Cristo, il condamnera ceux qui l’avaient trahi auparavant.

Note : Le film est proposé en deux parties : Première époque : Edmond Dantès et Deuxième époque : Le Châtiment.

Injustement fait prisonnier au Château d’If, Edmond Dantès parvient à s’évader lorsque meurt l’Abbé Faria, que tout le monde croit fou. Guidé par la vengeance, il part à la recherche du trésor dont lui avait parlé le mystérieux abbé. Sous l’identité du comte de Monte-Cristo, il condamnera ceux qui l’avaient trahi auparavant.

Note : Le film est proposé en deux parties : Première époque : Edmond Dantès et Deuxième époque : Le Châtiment.

Le jeune Cheng Huang a quitté sa Chine natale pour venir prêcher la philosophie Bouddhiste en Angleterre. Echoué dans le misérable quartier de Limehouse à Londres, il fait la rencontre de la lumineuse Lucy. Lorsqu’il s’aperçoit que la jeune fille est victime des coups de son père, le boxeur Buttling Burrows, le pacifisme de Cheng est mis à rude épreuve.

Déjà secouée par le mécontentent populaire, la Russie du Tsar Nicolas II vient d’essuyer une cinglante défaite face au Japon et voit son armée contrainte à la capitulation. Affamés et épuisés par des conditions de vie misérables, les marins retranchés dans le port d’Odessa font gronder la révolte sur le cuirassé Potemkine. Solidaires des marins, les ouvriers grévistes et la population se réunissent et prennent la ville d’assaut. 

Notes : Le Cuirassé Potemkine est un film de propagande soviétique destiné à commémorer le vingtième anniversaire de la mutinerie du cuirassé Potemkine événement déclencheur de la Révolution Russe de 1905. La scène la plus célèbre est certainement celle du landau dévalant les marches de l'escalier d'Odessa. Brian De Palma lui rend notamment hommage dans son film Les Incorruptibles (1987).

Ce programme réunit 11 courts métrages réalisés par Alice Guy : La Fée aux choux, Comment monsieur prend son bain, Le Matelas épileptique, Les Résultats du féminisme, Madame a des envies, Une femme collante, Le Bonnet à poil, Une héroîne de 4 ans, La Naissance, la vie et la mort du Christ, Sur les barricades et Alice Guy tourne une photoscène.

William Canfield senior, le capitaine du Steamboat Bill, un vieux bateau à aubes qui vogue sur le Mississippi, est fier d’enfin pouvoir initier son fils, William Canfield junior, aux joies de la navigation. Les débuts du jeune homme sont pour le moins désastreux. C’est qu’en plus d’un naturel emprunté, William junior est amoureux. L’heureuse élue n’est autre que Marion King, la fille du banquier John James King, propriétaire d’un bateau et éternel rival de William Candfield Senior. Heureusement, une tempête infernale sera finalement l’occasion pour le jeune Canfield de prouver sa bravoure, et peut-être même mettre tout ce petit monde d’accord.